je suis au dessus de toi
au dessus de toi
empalée empalée
secouée défoncée
par ta bite enfoncée
comme un pieu dans ma chatte
tu me sens ahaner
plus la force de crier
secouée défoncée
ta bite me secoue
tes hanches me font sauter
sur ta bite comme une poupée
tu arrêtes un instant
du mal à respirer
a mon tour de me rassembler
a genoux la bite en moi
profondément enfoncée
mes mains sur tes épaules
à mon tour de me secouer
à mon tour de me frotter
à mon tour de m'enfoncer
à mon tour de te faire pénétrer
en moi plus profond plus encore
plus la bite au fond de moi
ça me prend je le sens
voilà que ça vient
c'est fort comme un torrent
agenouillé au dessus
ta bite enfoncée
je me démène et m'agite
faut que ça bouge que ça secoue
Je sens le gros baton dur
dans moi s'enfoncer
je grogne je ahane je gémis
je me frotte sur toi excitée
regarde moi m'agiter
je n'ai plus de fierté
je suis un trou rempli
je suis une vibrante cavité
je dégouline de mon jus
j'aime être baisée
je me secoue sur toi je m'agite
je me tords je râle je m'enfonce
ton braquemard est mon pilier
j'irradie autour de lui
laisse moi te faire me défoncer
tes yeux sont vides de joie
je te sens déferler
je te sens te vider
je ne peux plus bouger
je suis à bout de plaisir
défoncée empalée enfoncée
ta bite en moi fond doucement
je voudrais avoir encore la force
mercredi 9 mars 2011
mardi 8 mars 2011
Au début c'est mou, voir flasque. Cela se lèche à petit coups et ne tarde pas à se déployer. Alors, on peut le prendre en bouche - cela prend toute la bouche , et jusqu'au fond de la gorge - et le sucer.
On suce doucement, comme un très gros bonbon. Avec la langue on peut tater, comme pour aller plus profond au delà. On salive aussi, pour humidifier et sucer plus facilement encore.
Des va et vient sont pratiqués. Du fond de la gorge jusqu'àu bout des lèvres, et on peut aussi mettre les doigts. Des gémissements ne tardent pas à ce faire entendre.
Il est debout, le pantalon baissé : ce manque délégance, cette crudité de la posture ne sont pas sans charme. Que les choses soient nettes.
Il veut qu'on lèche, alors léchons : ça semble tellement lui plaire. Du bout de la langue, on lèche, tout autour ; c'est gros.
Puis c'est le jaillissement, forcément, la gerbe blanchâtre, saccadée, sucrée et amère, en pleine figure.
Halètements et soupirs. Mains qui frôlent, caressent, puis sans hésiter pénètrent. Doigts fins, frottant les zones sensibles. Sueurs et sécrétions.
Gémissement. Le frôlement se fait précis, on empoigne, le durcissement manifeste fait honneur à l'humidité avide.
Une attente voulue laisse monter un désir douloureux. Tissus gorgés de sang, pression artérielle. Elle se cambre. Se tend. Il titille et mordille.
Mais vite c'est la conclusion. Chairs pressés, moites, sucées et mordues. Emboitements. Secousses grognées d'une satisfaction brutale, qui prend à la gorge et laisse la chair exhaler d'un râle l'indicible plaisir. Elle, secouée et ballotante, empalée de bonheur, écrasée sur un bas ventre chaud qui gicle par soubresauts. Lui ardent, tendu, vertical et dur, enfoncé dans des moiteurs rougies et humides.
Il est difficile d'en parler.
dimanche 9 mai 2010
J’ai pris de bonnes résolutions pour mes cours : laisser les élèves s’exprimer, faire des cours fun, au moins 30 minutes d’activités sur 50 minutes de cours (l’année dernière j’ai voulu leur faire des cours d’un super niveau et je parlais tout le temps en classe, sans les faire intervenir, tu sais que je suis bavarde, et j’avais l’impression que si ça m’intéressait, ça les intéressait, il y a du vrai la dedans, mais écouter un prof te faire dégringoler des infos sur la tête pendant une demie-heure sans que tu puisses en placer une, c’est dur à n’importe quel âge). Je dois parler le moins possible avec mes collègues, tout en étant très aimable avec eux. L’amabilité et la courtoisie sont des armes extraordinaires. Ça ne veut rien dire mais ça fait tout glisser. Mes collègues ne sont pas méchants, seulement ennuyeux. Mais parfois on s’amuse.
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